L’ange ouvert. On pourrait dire : mais l’ange est toujours ouvert. Quand on pense à l’ange, on s’imagine un être plutôt vaporeux, sans contours précis, pas très délimité, donc plutôt ouvert. Quand on pense à l’ange on voit celui qui va nous ouvrir l’horizon pour nous redonner un souffle régulier, celui qui va nous élever au-dessus de nous-même, donc toujours synonyme d’ouverture.
L’ange , oui, est tout cela, mais il ne le sera que si vous vous ouvrez à l’ange. Gitta Mallasz l’exprime très bien, en faisant toujours ce même geste : ses deux mains s’approchent l’une de l’autre et les 10 doigts s’entrecroisent parfaitement pour ne faire qu’un seul poing.
L’ange n’est rien sans vous. Vous n’êtes rien sans l’ange. Vous devez donner vie à l’ange, il n’a accès à la vie que par votre chair, votre corps.